Une évidence qui n’est que rarement traduite par nos politiques.
Si l’Allemagne a pu se permettre d’arrêter ses centrales, c’est uniquement parce qu’elle a investit depuis des années dans des solutions alternatives. A l’heure de la conférence environnementale, il est temps d’évoquer les pistes de développements des énergies renouvelables plutôt que de simuler des hypothétiques scénarios d’arrêts de nos centrales sans solution de remplacement, même partielles.
A-t-on confier le développement du V’Lib à total ????